Si, parmi les médecines douces, certaines ont assurément fait leurs preuves en tant que remèdes de nombreux petits maux, peut-on se soigner exclusivement à l’aide de l’homéopathie, de la phytothérapie ou de l’acupuncture ?
Qu’est-ce qu’une médecine douce ?
La médecine douce se définit, en opposition à l’allopathie (ou médecine traditionnelle) par l’utilisation de substances ou de méthodes entièrement naturelles. Par exemple, les huiles essentielles, réputées aussi bien pour les massages qu’en cas de rhume, de douleurs articulaires ou d’insomnie, sont constituées à partir de plantes. Dans un autre style, la médecine chinoise et ses dérivés (comme la réflexologie, qui s’effectue sur une table de massage : pour plus d’infos à ce sujet, allez sur Robe-materiel-medical.com) recourent aux aiguilles ou aux massages pour soigner des maux ou pathologies de toutes sortes.
Les limites des médecines douces
Cependant, bien que l’efficacité de ce type de remède ait été prouvée dans bien des domaines, il n’empêche que les médecines douces soient souvent en question et, surtout, qu’elles ne puissent pas tout à fait remplacer les techniques médicales traditionnelles. Par exemple, un diabétique ne pourra recourir aux seules fleurs de Bach pour contrôler son diabète : il lui faudra impérativement se soumettre aux piqûres quotidiennes d’insuline (pour l’achat d’une seringue adaptée, allez sur http://www.robe-materiel-medical.com/usage_unique-seringues_insuline-287.html). De même, les malades de cancer trouveront certainement un certain soulagement dans le recours à certaines médecines douces, mais auront malgré tout intérêt à se soumettre à la chimiothérapie prescrite par leur oncologue !